Avez-vous déjà vu ce clin d'œil à Star Wars dans "Taxi 2" avec Samy Naceri et Frédéric Diefenthal ? Armez-vous de votre télécommande, c'est parti !

Incroyable, Taxi 2 fait référence à une célèbre saga du cinéma : Star Wars ! Vous avez bien lu, lors d’un passage du film, on peut apercevoir brièvement un appareil utilisé par Daniel (Samy Naceri) lors de l’une des séquences marquantes du film.

Taxi 2

Sortie :

29 mars 2000

|
1h 30min

De
Gérard Krawczyk

Avec
Samy Naceri,
Frédéric Diefenthal,
Marion Cotillard

Presse
2,8

Spectateurs
1,9

louer ou acheter

Pour sa deuxième aventure, Daniel rencontre le père de sa petite amie Lily. Ce dernier est un général haut placé de l’armée française, et l’entente est cordiale entre les deux hommes. Lorsque le général est appelé en catastrophe pour accueillir le ministre japonais de la Défense à l’aéroport, il fait évidemment appel aux services de Daniel et de son taxi pour arriver à temps. Mais très vite, des comploteurs cherchent à enlever le ministre.

Click Here: france national rugby union team jersey

Dans le film, si vous faites pause à 19 minutes et 12 secondes très précisément, vous pouvez voir un gros plan sur le joystick utilisé par Daniel pour diriger son taxi lorsqu’il se retrouve propulsé dans les airs dans la scène de l’aéroport. Ce joystick est en fait la réplique quasi à l’identique de celui utilisé par le jeune Anakin dans Star Wars : Episode I – La Menace fantôme :

A l’époque de la sortie de Taxi 2 le 29 mars 2000, La Menace fantôme était sorti à peine six mois auparavant, le 13 octobre 1999. Les responsables des accessoires du film, Fabienne et Eric Guinot ont assurément placer ce clin d’œil à dessein, car on voit mal une telle coïncidence être le fruit du hasard !

Après les 6,5 millions d’entrées du premier volet, Taxi 2 double quasiment la mise avec 10,3 millions de tickets vendus pour les nouvelles aventures de Daniel le conducteur de taxi et Emilien le flic. Deux autres suites verront le jour avec la même équipe en coulisses, à savoir Gérard Krawczyk à la réalisation et Luc Besson au scénario et à la production.